jaune et noir : ligne 9

Pas de portrait, aujourd'hui ; voilà qui va combler d'aise Protolapon qui fait toujours mine de me trouver trop cruelle dans mes descriptions ; et comme je ne voudrais pas risquer de tomber dans la mièvrerie ... je n'écrirai pas ce soir.

Pas de portrait aujourd'hui ; la grippe aviaire est à nos portes ! la grande peste est de retour, il n'est plus temps de bloguer... ce soir, j'achète un grand congélateur, je le remplis de volailles conditionnées avant l'épidémie - de quoi tenir longtemps ... alors, je n'aurai pas le loisir de vous écrire ce soir.

Pas de portrait aujourd'hui ; j'ai voulu placer des gifs animés dans mon article, pour voir si les conseils d'OlivierSC étaient efficaces ... j'ignore encore si j'ai réussi (les gifs sont figés en cours d'édition ), mais j'y ai déjà passé trop de temps, et donc, je n'écrirai rien ce soir.

Pas de portrait aujourd'hui ; j'avais un excellent roman policier (*) - une fois n'est pas coutume - pour me tenir compagnie durant le trajet ... je n'ai pas levé le nez une seule fois de BUZ à MIRO ; captivée, je n'ai rien vu, rien entendu, même rien senti ... comme je ne saurais mentir, que voulez-vous que je vous raconte ? Et pourtant, j'abomine l'idée de ne rien vous écrire ce soir.

Pas de portrait aujourd'hui ; je me suis pincé les doigts en refermant mon tiroir, tout à l'heure ; je n'arrive plus à maîtriser mon clavier ; la reconnaissance vocale n'en fait qu'à sa tête ... comment voulez-vous que je fasse ? Je n'arriverai pas à vous écrire ce soir.

Pas de portrait aujourd'hui ; je vais bien finir par trouver une excuse plausible ... en attendant, vous l'aurez compris, je n'ai vraiment rien à dire ce soir !
Finalement, je crois bien que j'ai trouvé ce que je vais vous écrire ce soir !

Pas de portrait aujourd'hui !

Mais demain, peut-être ; j'aurai ... un truc en plumes (vert)
alors, à demain ?

(*) Il s'agit de "Il faut buter les patates" - Gérard Alle - une histoire explosive qui se déroule en Bretagne, avec du lisier, une épidémie de grippe aviaire, un soupçon de vache folle, un festival de rock, des éleveurs de porcs, Céline Dion ...
C'est un roman de 2001 et le virus à la mode était alors le H4N4, mais il n'avait pas les honneurs de la presse à cette époque.

Comments

[chrislgn9]

Olivier > mais c'est génial ! Mais alors, si je change l'image, votre blog est modifié lui aussi !

[Olivier SC]

Il n'est pas possible de placer des images, etc, dans un commentaire ; sur aucune plateforme, je pense. Et à juste titre, je trouve.

Je vous ai volé une image, mais elle s'affiche à partir de votre blog !

[chrislgn9]

Et voilà mes deux fidèles de la première heure !
Journée chargée = réponse brève !

protolapon > Svp, on ne se joue pas de la chandelle de mon Céladon ! Google peut bien chercher dans les recoins les plus cachés de sa mémoire, seules mes lèvres resteront exposées à vos convoitises.
Ventilateur abscons : c'était juste pour dire que je brassais du vent ce soir là

olivierSC > canalblog semble être une grande dévoreuse de commentaires !
J'ai passé beaucoup de temps - mais en vain - à tenter de placer un gif dans vos commentaires, je suppose que ce n'est pas possible.

[Olivier SC]

Heureux que ça fonctionne, info-bulle comprise, même ici où il faut s'y prendre à 2 fois pour laisser un commentaire.

Style : tous les champs remplis, Canalblog refuse et demande nom, pseudo et tout ...

Je vais dire, de ta part, à Bidule que "ça marche" !

Ca va les doigts ?

[Protolapon]

Ah ces lèvres pulpeuses et purpurines qui babillent et juste en bas ce ventilateur abscons qui tourne à l'envers pour rafraîchir mon âme surchauffée par le spectacle de ces lèvres qui se tendent pour d'infinis baisers!
Et puis lorsque je dis que tes portraits sont cruels, c'est au contraire un éloge pour ton regard aigu qui va au delà des apparences!
Mais au fait, ne crains-tu point de devenir la regardeuse regardée?
Faudrait-il que je googlasse pour savoir si un regard acéré se pose sur toi et me fasse découvrir enfin ce que j'ignore de tes yeux, des tes mains qui caressent, fustigent, cherchent dans la pénombre des chandelles la main de ton Céladon?